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Quand mon esprit est abattu en moi,

toi, tu connais mon sentier.

Sur la route où je marche,

on m’a tendu un piège.

Regarde à droite et constate-le:

personne ne me reconnaît,

je ne sais plus où trouver refuge,

personne ne s’inquiète pour ma vie.

Eternel, c’est à toi que je crie.

Je dis: «Tu es mon abri,

ma part au pays des vivants.»

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